Psychologie et relations

Mémoire empirique traumatique – aversion des forums et écrits d’autrui

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      etienne31
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      Il y a quelques temps, maintenant un peu plus de deux ans, j’ai été harangué et harcelé sur un site forum – type réseaux sociaux pour soi-disant surdoués mais “au singulier” – au motifs de prétextes fallacieux divers.

      Je ne m’en suis pas rendu compte dans l’immédiat, mais les inepties et mensonges répétés d’un certain nombre de personnes ont déclenché chez moi un mécanisme d’autodéfense consistant à éviter toutes lectures inutiles de personnes dont je n’aurais pas, au préalable, vérifié le potentiel de qualité. C’est à dire, autrement dit, si je ne connais pas la personne et surtout si je ne lui ais pas accordé une certaine confiance, je ne lis tout simplement pas.

      Après tout, pourquoi perdre son temps avec des mythomanes, ces menteurs pathologiques ? Du genre qui prétendent rouler en BMW tandis qu’ils roulent avec la Safrane de Papa Maman, chez qui ils vivent encore passé la trentaine ? D’ailleurs prétendant être gérants alors que la réalité est qu’ils ne connaissent rien de rien à la gestion d’entreprise ? De patentés bon à rien aux allures de clodos qui insultent et traitent de “random clochard” (comprenez le “miroir”) le premier venu écrivant texte leurs déplaisant ? Allant même à vanter d’autres choses qu’ils n’ont pas, mais qu’il fait bon de faire croire que l’on a pour mieux “briller en société” ? Comme se rajouter des centimètres sur la hauteur ou d’autres choses ? Ou encore s’inventer des résultats de QI qui n’existent nullement autre part que leurs imaginaires ? Et finalement insulter, provoquer, conspuer, rendre fou quelque individus pour ensuite, des semaines plus tard, faire comme si l’autre s’énervait tout seul ? Du genre ils n’auraient jamais rien eu à se reprocher ? Ces personnes là, peut on les qualifier de pourriture, finalement ?

      Certes, si cela s’était limité à ces simples interjections outrancières ou banales insultes passagères telles qu’on en lit sur internet, à cette simple personne, et si l’administrateur du site avait alors répondu à mon “appel à l’aide” à de multiples reprises – il n’a strictement rien fait, aucune action – le déroulé de l’histoire eut été autre. Mais là, cela s’est propagé à quelques autres personnes à troubles mentaux qui, se ralliant à la haine envers le “vrai, du bon, de l’utile” de ce harceleur, n’ont trouvé autre stratagème que de polluer les échanges de qualité au travers de logorrhée vindicatives et mensongères, pour ainsi détruire et déconstruire tous réels échanges possibles ayant vocation le “sérieux”. Peut être un pansement rapport à leurs vies insignifiantes qu’ils détestent et haïssent autant que possible ? Encore un effet miroir, en résumé;

      Rendant à cet ensemble un air d’hôpital psychiatrique avec concours de “qui sera le plus taré”, inondé par le prisme de la folie, de l’incohérence, et de propos diffamatoires des uns envers les autres.

      De cette horreur ayant tout de même durée environ 6 mois, j’en ai retiré une allergie et un dégoût aux échanges stériles dont la source n’aurait donc pas été, au préalable, validé par la sagesse, comme tout bon philosophe est en droit de l’exiger.

      J’en suis maintenant a essayer de me relever de ce “plâtre”, apposé autour de cette douloureuse et épuisante blessure.

      Echanger avec parcimonie de ci de là, vérifiant les réactions avant de s’enfoncer plus en avant.

      Mais finalement, c’est chez soi que l’on est son maître, et que l’on est en droit d’imposer son rythme, ainsi que la liberté pour chacun de pouvoir faire de même.

      Ainsi, ce site m’est, et le sera aussi peut être pour vous, un havre de paix permettant de réels échanges authentique, aussi bien pour le sérieux, que pour justement cette folie que l’on a parfois besoin d’exprimer.

      La seule condition ? Bien ranger ce qui doit l’être, et permettre en chaque lieu que ne résident que les échanges d’un certain ordre. Le sérieux là où on doit l’être, l’humour à sa place, les questionnement et digression aussi dans leur salle dédiée.

      Assez du capharnaüm ! Assez de l’avilissement et bassesses insupportables !

      Soyez frais, soyez libre, exprimez vous en confiance là où vous le pouvez !

      Moi ? Je le ferais ici, dorénavant, car ailleurs les indésirables ont porte ouverte. Mais pas ici ! L’admin veillera, il me l’a promis ! La liberté a besoin d’être préservée pour perdurer.

      Maintenant, pour retrouver mon équilibre, je vais essayer, toujours avec parcimonie, d’apposer mes pensées et trouvailles en ces lieux isolés et en partie cachés de tous, pour ne les partager qu’avec les personnes de confiance.

      Car pour guérir, il faut prendre courage, et agir. C’est en pratiquant, en étant confronté à sa phobie, qu’on peut alors triompher de cette dernière. Passer à l’action !

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